Electronic Compositing: le premier test 3-D

Posted by | Posted in INFOS | Posted on 22-05-2011

Quand la décision fut prise de faire de la seconde séquelle au film de Spielberg un long-métrage en 3D, un test fut immédiatement réalisé par les gens de PSE. « We can’ t really go underwater with 400 people and shoot everything underwater because we don’ t have pressurized compartments » déclare alors le producteur Rupert Hitzig. « So what we do? We composite foreground elements, and we have to greenscreen background elements in 3-D. It’s never been done before. » Dans un premier temps, une poupée Barbie (choisie en raison de sa chevelure) fut donc filmé barbotant dans un aquarium, entourée de poissons, bulles et autres végétations marines. Puis on filma quelques images en 3D de la rue où les locaux de PSE se situaient. Les deux bobines se virent alors combinées à l’ aide de l’ Ultimatte à Ruxton et transférées sur pellicule par Image Transform. Mais c’ est au Tiffany, un cinéma de Los Angeles équipé pour les projections en 3D suivant le procédé  over-and-under que le résultat de ces expérimentations fut projeté. Encore une fois, ce test fut jugé suffisamment bon pour justifier l’ emploi de l’ Electronic Compositing. « Nobody’s ever done 3-D process, which means 3D behind 3D. » confiera Hitzig à la presse. « That’s all going to be a new treat for us to find out if it works. I hope we don’ t end up with 25-foot-long fish that look like minnows.« 

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